ô toi le chat


ô toi le chat
dans mes bras
tu ronronnes
jamais tu ronchonnes

sur mes genoux
tu viens t'assoir
dans mon désespoir
les frottements si doux
de tes froides narines
me sont une aide divine

ô toi le chat
sous mes bras
tu caches ta tête
jamais tu t'embêtes

à mon approche
tes yeux se brident
revenant de Thébaïde
tu me donnes une taloche
tes oreilles se dressent
je te caresse




Denny Hohmann © 2001 Tous droits réservés